lundi 29 juillet 2013

Identité:



la citoyenneté d'un individu aux temps modernes est aussi importante que sa religion sinon plus, sous son drapeau il retrouve son identité et sa vie sociale, il retrouve une vie et un droit, une liberté et une obligation.
c'est cette citoyenneté qui donne le sourire la joie
la sérénité et l'amour de vivre. 
 ou est la cohérence de notre société?? ou est ce sourire éclatant toujours présent chaque fois qu'on se croise, a-t-on perdu à jamais notre identité?? ce sourire nous manque, une tristesse profonde le remplace teinté de méfiance, d'interrogation, ou sont les prêcheurs de biens aux visages sympathiques aux paroles modérées qui ne cessent d'alimenter la société de l'amour mutuel et du soutien , nous plongeons tête basse dans l'aversion  la répulsion la haine le mépris les pires des paroles pour ne semer que la graine du mal.  
la notion de communauté,de société se perd dans l'hypocrisie des uns et l'indifférence des autres , aucune image d'identification ne peut se tracer devant un tableau ou le mal l'emporte sur le bien. depuis que cette  révolution a débuté par une immolation tout semble bruler autour,  ce feu  symbole de liberté  s'est libéré pour détruire; un feu qui ne peut que s'étendre pour raser tout ce qui l'entoure, l'écoulement de sang qui a suivis a assez duré, des familles entière disparues sans retour, d'autres garderont un traumatisme gravé pour des décennies, le plus grave c'est que la leçon ne semble pas comprise et les frères de sang continuent à s'entretuer chacun convaincu de défendre une cause loin d'une réalité qui peut emporter tout le monde dans le gouffre de l'inconnu.la situation dramatique causée par cette révolution a laissé l'occasion aux  manipulateurs qui tirent les ficelles de loin et alimentent le feu, les vrais vainqueurs de ces révolutions sataniques sont ceux qui se font une joie de regarder ce fratricide sans bouger, ils attendent la fin pour imposer leur lois, quand nous n'aurons plus de force de dire "non" à l'arrogance de l'impérialisme  , en attendant on laisse l'ennemi réel pour rechercher un ennemi virtuel, l'humilier le négliger et même le tuer rien que pour imposer une opinion ou une idéologie déjà incrustée dans les coutumes du quotidien.


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