lundi 16 février 2015

l'humain est-il le bon exemple ??

devant l'inégalité sociale croissante ou les 80% de la richesse mondiale est entre les mains d'une minorité ne dépassant pas les 4à6% de la population dans le monde, la misère qui touche plus de 50% du nombre totale des ''vivants'' si on appelle vie la souffrance quotidienne de cette catégorie d'individus. je dirais que l'humain a échoué ainsi que toutes les idéologies qu'il a pu suivre à donner une équité sociale et une image agréable de son ''bon'' coté. les milliers et les millions de catastrophes qui ne touchent que celui qui est démuni, démuni du savoir, des moyens de se nourrir et de se protéger, des moyens de changer son train de vie ou de se forger une ''vie''. il suffit de voir les milliers d'immigrants clandestins qui ont péri lors de tentatives de regagner des pays plus sures qui auraient pu leur procurer le minimum de dignité. Les millions d'enfants nés et morts avant d'avoir compris le sens d'une vie, emportés dans des tableaux de souffrances atroces par la faim la misère et les infections de toutes natures. entre temps les millions d'individus qui ont des cauchemars nocturnes tellement le ventre est plein à craquer. l'obésité qui touche de plus en plus de personne au point de poser un problème de santé à tous les pays du monde, l'argent qui devrait servir à nourrir les bouches affamées ira se déverser pour soigner les maladies conséquentes des milliards d'obèses. le soucis des politiciens et des financiers est loin de chercher la solution équitable aux pauvres gens dans le besoin, mais surtout  à exploiter cet argent pour les autres, et l'investir avec les compagnies d'assurances, les banques, les entrepreneurs et toutes les sociétés industrielles ou agricoles. la politique sociale dans des pays pauvres n'a pas réussit dans la majorité des cas ou elle a été entreprise, car souvent ces pays sont obligés de s'endetter à d'autres pays riches pour subvenir à leur besoins et du fait vont essayer d'investir l'argent empruntés, les dettes et les intérêts croissants vont laisser ces pays à la marge de la faillite.
celui qui est né dans un pays pauvre n'aura probablement pas la chance de trouver un équilibre et une vie paisible s'il n'est pas emporté par un mal macabre, alors que celui qui est né dans un pays riche sera au moins pris en charge par les structures sociales qui seront de plus en plus renforcées du fait de l’enrichissement de ces pays par les crédits à taux d’intérêts crissants délivrés aux pays pauvres.
l'humain que ce soit à l'échelle individuelle ou à l'échelle d'état ne peut se vanter d’être un exemple à suivre. les multitudes de crimes pour des raisons souvent en dehors de tout besoin vital sont des exemples frappants qu'on ne peut même pas voir dans un règne d'animaux sauvages.