sport cool 2

le sport cool est une méthode basée sur des données scientifiques et les conseils qu'on donne portent sur toutes les étapes à suivre lorsque on débute une activité physique pour éviter les désagréments tout au long de cette activité.

 Quels conseils peut-on donner aux personnes désirant entamer une activité sportive ?  comment Commencer sans être exposé aux accidents et comment tirer le meilleur profit. Lors d’une activité sportive débutante il est rare de ne pas présenter des signes de souffrance musculaire ou ligamentaire, toute activité de ce genre met la matrice extracellulaire et les muscles sous forte tension avec un afflux plus important de sang , de liquide et  un nombre important de cellules du sang , les variations biologiques et anatomiques au niveau de la matrice sont telles que le flux de liquide extracellulaire et cellulaires est responsable d’une inflammation plus ou moins étendue dans les zones de travail musculaire souvent à l’origine de douleur intense ou/et de courbature, les cellules musculaires non habituées à ce genre d’exercices gèrent mal ce genre de flux de liquide et de cellules.

Le flux sanguins est plus intense dans les zones de travail du fait de la congestion et l’ouverture des capillaires sanguins dans ces zones, nous profitons pour passer plus d'oxygène par une respiration adaptée et un étirement doux qui améliore et la qualité du muscle sa performance et son adaptation sans dégât .
 si l’exercice est modéré les lésions seront modérées la réparation rapide et efficace. ces troubles liés à l’inadaptation du corps aux exercices physiques sont souvent une cause d’abandon , il faut savoir en tenir compte pour pouvoir bénéficier au mieux d’une activité nécessaire à un  bon développement musculaire articulaires vasculaire et même intellectuel .  le système de réparation musculaire ainsi que celui du tissu conjonctif qui entoure les faisceaux des muscles est l’un des mieux organisé et le plus rapide à entrer en jeu suite à des lésions musculaires , cette réparation de la fibre musculaire se fait de façon correcte si on apporte une vascularisation, une innervation et une traction longitudinale ( travaux démontré par STUDENSKY ET CARLISSON) d’où l’intérêt de préparer les muscles à ce genre de réparation, je détaillerai la meilleure façon lors de la pratique de l’étirement musculaire).lors d’un traumatisme musculaire la zone traumatisée est envahie par plusieurs cellules inflammatoires (polynucléaires , cellules macrophagiques qui vont phagocyter les cellules lésées ainsi que les fibres musculaires nécrotiques).ce nettoyage laisse la membrane basale à nue pour permettre la régénération. Une prolifération de cellules satellites myoblastiques au niveau de la membrane basale au niveau de la lésion  et aussi à distance bien loin de la zone de lésion qui vont migrer au niveau de la zone lésée (SCHULTZ) , pour  REZNIK  les myoblastes proviennent également de la fragmentation des fibres musculaires lésées, dont certains noyaux s’entourent  de cytoplasme. Ces myoblastes s’alignent fusionnent et donnent une grande cellule polynucléée, le myotube. Les myotubes évoluent vers la fibre musculaire striée.

La formation du tissu cicatriciel : dans les 1ere heures la fibronectine d’origine sanguine apparait dans la matrice et forme avec la fibrine un fin filet réticulé sur lequel viendront s’ancrer les fibroblastes. Le collagène 3 synthétisé par les cellules inflammatoires et les précurseurs des fibroblastes, participe à la formation de cette toile initiale.

Dans les jours qui vont venir on assistera à une forte prolifération de fibroblastes qui synthétisent du collagène de type 3 et 1 dont la structure fibrillaire est plus épaisse.

L’apparition du collagène type 4 et 5 est liée à la formation des myotubes et des nouvelles fibres musculaires. Tous ces remaniements ont une répercussion sur la qualité du tissu musculaire et sur la matrice du tissu conjonctif, on remarque qu’un sportif a une meilleure anatomie et une meilleure stature qu’un non sportif , l’examen tissulaire révélera certainement une plus grande richesse dans la matrice du tissu conjonctif, ainsi qu’un plus grand nombre de cellules musculaires. L’exercice physique serait un stimulant parfait de la régénération et doit être maintenu pour une meilleur qualité tissulaire, ( comparer les sportifs et les non sportifs pour confirmer cette hypothèse)      

Un coaching par une personne habituée ayant des connaissances en physiologie en anatomie et connaissant l’importance du travail musculaire est souvent nécessaire surtout au début des activités sportives .le bénéfices tirés sont énormes et font l’unanimité du milieu sportif et médical avec une amélioration des performances physiques, un meilleur état ligamentaire des articulations, un muscle plus tonique un cœur travaillant plus à l’aise et un meilleur état psychologique. La procédure progressive est la bonne oxygénation sont les meilleurs garants d’un bon résultat.

 ces bénéfices seront améliorés avec le temps et l’assiduité et on peut proposer   des exercices  de relâchements coordonnées à la respiration base de la recherche que j’ai effectuée et qui  sont responsable d’un bien être physique et psychique inégalable. la méthode que  je vais développer est une découverte  pratique en observant les différentes disciplines sportives et l’observation des exercices pratiqués par les asiatiques du genre tai-shi, qicong utilisant le relâchement musculaire . la coordination  respiration et relâchement  dans différentes positions debout assis et couché mettant en jeux le maximum d’articulations  permet  d’améliorer de façon significative l’état locale de ces articulations. Au niveau  du dos cela  peut être une méthode efficace de prise en charge des lombagos ainsi qu’un certain nombre d’arthroses. Elle est aussi efficace pour un certain nombre de maladies articulaires tendineuses et musculaires. le bénéfice a été ressentie par tous les sportifs à ma charge lors de l’entrainement que je supervise.

Au début je proposais des séances de stretching qui suite à un travail musculaire intense semble donner un bien être en relâchant les muscles sous tension réduisant probablement les phénomènes inflammatoires causés par les exercices violents en améliorant le drainage local du tissu conjonctif.

Les courbatures sont moins ressenties chez tous les sportifs même les débutants dans le ou les jours qui suivent. Cette méthode connue de tous se fait de façon régulière dans les milieux sportifs, plusieurs travaux ont été faits et ont montré que ces étirements réduisaient la force musculaire et sa rapidité et n’ont aucun intérêt lors des compétitions sportives et ne doivent pas précéder la compétition car ils réduiraient le rendement musculaire de 7à8%.

Ils ont cependant un intérêt certain en fin d’exercice en mettant au repos le muscle qui était sous tension, un deuxième avantage c’est  de préparer une articulation a une meilleure ouverture de son angle lors d’un étirement excentrique. Les performances futures seront certainement meilleures. Une étude sur le terrain est nécessaire pour confirmer cette hypothèse.