POUR MON PAYS

si les  événements ont emportés certains opposants pour réclamer la dissolution de l'ANC, je me permet en tant que citoyen n'appartenant à aucun parti politique de dire que cette démarche est la pire qui soit, que les suites seront plus que catastrophiques, que le pays ne supportera pas un autre tsunami, il est sage de chercher à remplacer le gouvernement actuel par des personnages plus rodés dans les rouages diplomatiques, qui sauront mettre les priorités du pays au 1er plan, finir ce qui a été entamé en matière de constitution au vus  des critiques et des remarques des experts pour arriver à bon port, le premier ministre actuel n'a pas malheureusement l’étoffe d'un homme d'état malgré sa bonne foi et sa sincérité, on ne peut exiger de quelqu'un de donner quelque chose qui n'est pas en sa possession . un gouvernement capable compétent sachant mettre en place les hommes qu'il faut au bon endroit, qui ne cherche pas à satisfaire les exigences de tel ou tel parti, un vrai chef de gouvernement neutre qui ne cherche que l’intérêt de l'état . se conformer à une date pour les élections et faciliter les procédures de mise en place dans la transparence,  c'est de cette façon que ce gouvernement peut retrouver la confiance d'un peuple déchiré depuis plus de deux ans, angoissé de voir le sang tunisien couler sans raison, un peuple riche d'idéologies et de culture, qui ne demande qu'à faire sortir ses dons pour une TUNISIE meilleure. l'UGTT forte de la masse ouvrière doit se conformer à s'occuper de ses adhérents et   de laisser la politique aux politiciens et essayer de trouver les solutions urgentes pour relancer une économie au bord de la déroute en encourageants ses adhérents à donner plus au lieu de les encourager à faire les grèves.
tous les responsables doivent être sous contrôle d'un comité à pouvoirs étendus élu par le peuple pour éviter les dérives des responsables.malheureusement tous ceux qui escaladent le podium du pouvoir oublient que leur rôle n'est pas de se maintenir en place mais de donner le maximum au peuple qui les ont choisis, la culture de la démocratie et sa pratique peine à monter sur le podium, elle est vite délaissée devant le parfum du pouvoir, il va falloir attendre dans la désolation l'arrivée d'une brise d'espoir qui ne sera pas pour demain.