l'absence de perception des choses obscurcie nos pensées, la connaissance leur donne les couleurs qui illuminent leur chemin, en prenant le temps de nous arrêter de contempler de sentir la vie , on comprend que la vie est le meilleur cadeau de dieu, un cadeau divin qu'on doit protéger et respecter, la société nous fait oublier de reconnaitre les signes de l'avidité de l'aversion et de la haine au point de perdre le contrôle de nos actes, nous nous rendons compte que nous sommes manipulés par ces forces du mal qui dégagent une toxicité meurtrière, une toxicité souvent masquée par une idéologie mal élaborée ou mal perçue, les responsables qui n'ont pas cette perception profonde de respect à la vie doivent rechercher un autre métier, se recycler ou démissionner pour épargner une population avide de vie .
contrôler ses pulsions, accepter l'autre malgré ses défauts, s'élever de ses envies ravageuses qui empoisonnent notre vie, des sensations que chacun éprouve à l'origine de nos conflits et de nos différents. ces pulsions incontrôlées alimentées par des esprits malsains sont souvent l'étincelle d'une rupture ou plus grave d'une guerre civile et d'un fratricide sans précédent.
il faut avoir la force de reconnaitre ses faiblesses, cette force est souvent sous le masque de la faiblesse, les tambours qui résonnent ne sont pas forcement les bons instruments. tuer massacrer
ôter cette énergie vitale, c'est avant tout une forme de non reconnaissance de la divinité qui l'a sacralisé, c'est un défi au créateur et à la création, se prendre pour le divin pour commanditer l'avenir, c'est cette forme de caricature humaine souvent masquée d'un visage angélique, source de mépris qui s'installe négligeant la connaissance et la reconnaissance de soi et d'autrui.
aujourd'hui ce sont des assassinats ciblés le lendemain c'est le hasard qui emportera la cible et les non ciblés, toutes ces innocentes créatures dont la seule faute est d’être là au mauvais moment.
celui qui ne respecte pas la vie ne respecte pas la religion encore moins le créateur. c'est la culture du bien, de la connaissance, et la maitrise des sens qui est le garant d'une société équilibrée ou il est bon de vivre en paix, ou l'amour a le dessus et ou la haine est enterrée à jamais.
contrôler ses pulsions, accepter l'autre malgré ses défauts, s'élever de ses envies ravageuses qui empoisonnent notre vie, des sensations que chacun éprouve à l'origine de nos conflits et de nos différents. ces pulsions incontrôlées alimentées par des esprits malsains sont souvent l'étincelle d'une rupture ou plus grave d'une guerre civile et d'un fratricide sans précédent.
il faut avoir la force de reconnaitre ses faiblesses, cette force est souvent sous le masque de la faiblesse, les tambours qui résonnent ne sont pas forcement les bons instruments. tuer massacrer
ôter cette énergie vitale, c'est avant tout une forme de non reconnaissance de la divinité qui l'a sacralisé, c'est un défi au créateur et à la création, se prendre pour le divin pour commanditer l'avenir, c'est cette forme de caricature humaine souvent masquée d'un visage angélique, source de mépris qui s'installe négligeant la connaissance et la reconnaissance de soi et d'autrui.
aujourd'hui ce sont des assassinats ciblés le lendemain c'est le hasard qui emportera la cible et les non ciblés, toutes ces innocentes créatures dont la seule faute est d’être là au mauvais moment.
celui qui ne respecte pas la vie ne respecte pas la religion encore moins le créateur. c'est la culture du bien, de la connaissance, et la maitrise des sens qui est le garant d'une société équilibrée ou il est bon de vivre en paix, ou l'amour a le dessus et ou la haine est enterrée à jamais.
Une multitude d'éléments détermine le comportement des gens et leurs réactions. La pauvreté et les frustrations, sont à mon sens, les deux causes qui favorisent l'éloignement les gens du bien, de l'amour et de Dieu et préparent le terrain à la criminalité, la perversion, la délinquance et le terrorisme.
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