jeudi 9 janvier 2014

l'héritage infesté

simplement compliqué, certainement empoisonné, surfer dans un champs minés tortueux se croyant sur des vagues prêt à sauter à tout moment, l'héritage politique laissé au présent gouvernement sera le gâteau empoisonné, la tarte à déguster avant de la présenter au peuple. l'échec a son prix fort, les prévisions mal calculées, la mauvaise conduite sur la voie de l'évolution n'a crée jusque là que des accidents qu'on aurait pu éviter, sortir par la grande porte  est certes une bonne chose, mais sortir après avoir enflammé l'ambiance sociale, avoir pressé jusqu'aux os le pauvre contribuable, l'inflation la dégradation de la monnaie locale nécessitaient des prises de décisions courageuses mais sans toucher encore plus au petit citoyen, il aurait fallu se pencher sur la question avec beaucoup de professionnalisme réduire les charges de l'état en réduisant les salaires trop gonflés de certains et minimisant les dépenses des différents ministères, il aurait fallu penser qu'en embauchant des gens dans la structure publique en surbooking aux conséquences financières désastreuses avant de se vanter d'avoir résolu une partie du chômage. maintenant les choses sont ce qu'elles sont le bilan est plutôt maigre pour une population hypotrophique lynchée par des vautours qui n'ont pas su leur redonner la vie qu'ils espéraient, qui n'ont pensé qu'à empoisonner leur cerveaux d'idéologies que seuls les plus miséreux ont cru, qui ont cru que la révolution est leur due et ont agit comme telle. la révolution revient aux jeunes qui ont payé de leur âmes, revient aux pauvres dont les corps se sont évaporés dans une fumée de chair brulées. ceux qui se vantent aujourd'hui d’être les défenseurs n'ont jamais fait partie ni des jeunes ni des pauvres, ils appartiennent à une société distinguée ou à une confrérie qui les manipulent et les submergent de tout ce qui leur manquent financement et logistique.        

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